Que vos cœurs s’éprennent de ses murs : contemplez ses palais.
(Ps 47, 14)
Du côté nord, une allée de trois travées comporte des murs peints, l’orgue de chœur, la porte de la sacristie (autrefois chapelle Sainte-Catherine), et la chapelle Saint-Georges.
Dans cet espace, on remarquera :
- le tableau votif des saints martyrs Crépin et Crépinien daté de 1594.
- des peintures funéraires de chanoines.
- la porte de la sacristie du XIVe siècle.
- la chapelle Saint-Georges (peintures murales du XIIIe siècle).
Puis le déambulatoire s’ouvre sur cinq chapelles rayonnantes :
- la chapelle Saint-Austremoine.
- la chapelle Sainte-Marie-Madeleine (fresques).
- la chapelle Saint-Jean-Baptiste.
- la chapelle Saint-Bonnet (peintures murales).
- la chapelle Sainte-Anne.
Le déambulatoire passe ensuite au sud devant trois chapelles :
- la chapelle Sainte-Foy et Sainte-Marguerite.
- la chapelle Sainte-Agathe.
- la chapelle Saint-Arthème.
Ces neuf chapelles voient leurs baies ornées d’un somptueux ensemble de vitraux, pour la plupart du XIIIe siècle. La cathédrale possédait au Moyen-âge des reliques des saints à qui les chapelles étaient dédiées. La chapelle axiale, chapelle Saint-Jean-Baptiste, possède les verrières du XIIIe les plus anciennes, et les médaillons sont encore cerclés de fer, comme à la Sainte-Chapelle à Paris.
Dans la chapelle Sainte-Anne ont été regroupés au début du XXe siècle des médaillons romans du XIIe siècle : ils sont situés dans la verrière centrale.
Enfin le déambulatoire se termine par la chapelle Notre-Dame-de-l’Assomption, avant d’aborder le bras sud du transept.